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Autre tests

De nombreux tests ont été développés pour des applications spécifiques. On mentionne ici le test de la sensibilité face à une anesthésie, appelé également test de dibucaïne. Le dibucaïne est un ancien narcotique qui est utilisé pour la sédation.

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Sédation

Sédation signifie littéralement baisser la conscience du patient. Si pendant une auscultation et/ou traitement, le patient reçoit un soulagement de douleurs, on parle d’une sédation analgésie procédurale (SAP). La conscience est réduite de façon à ce que l’on ne sente rien de l’opération, mais que l’on respire toujours par ses propres moyens. Cependant, la sédation n’est possible qu’en cas de certaines opérations. Anesthésie générale (narcose) On appelle cette forme d’anesthésie également narcose. Lors d’une anesthésie générale, tout le corps est anesthésié et le patient se trouve dans un sommeil profond artificiel tout en étant connecté à des appareils de surveillance pour mesurer la fréquence cardiaque, la tension et l’oxygène. Via une perfusion, le patient reçoit des hypnotiques. Lors d’une opération sous anesthésie générale, le patient ne s’aperçoit de rien.
Anesthésie locale Lors d’une anesthésie locale, seule une partie du corps est insensible. Il existe deux types d’anesthésies locales : l’anesthésie locale et l’anesthésie locorégionale. L’anesthésie locale est utilisée pour des petites opérations. L’injection est effectuée près de l’endroit qui doit être traité. Lors d’une anesthésie locale, le patient ne perd pas conscience. En cas d’anesthésie locorégionale, l’anesthésiste anesthésie uniquement une partie du corps, comme le bras ou la jambe. Par l’injection d’un narcotique autour des nerfs correspondants, les nerfs sont temporairement désactivés et l’endroit de l’opération est temporairement insensibilisé. Une péridurale lors d’un accouchement fait partie de cette catégorie.
Parfois on est sensible face à la substance narcotique. Cela peut se manifester par de l’anxiété, des éruptions cutanées ou une tension basse. Une hypotonie aiguë pendant une opération peut représenter un risque supplémentaire. Pendant que nombreux médecins ont du mal avec des sensibilités individuelles des anesthésies, cela est reconnu et accepté chez les animaux. Chez les chiens par exemple, on connaît les risques d’utilisation d’anesthésie en corrélation avec la race. Il y a des narcotiques que l’on ne peut pas utiliser chez un chien loup, husky, shar pei, chow chow, boxer, berger des Alpes ou lévrier.
Prevention On peut déterminer dans le sang la quantité de (pseudo-)choline-esterase avec la quantité de dibucaïne (DG). Au cas où le DG est réduit, il existe une sensibilité à l’anesthésie.